vendredi 26 février 2016

De bonnes relations nous gardent heureux et en bonne santé

                                                                                                       Autour de la Lagoa, Rio de Janieor, Brésil
Transcript partiel d’une conférence TED dont je vous mets le lien en bas de page ( sous-titres en français). Vous trouverez mes commentaires en italique.
De nos jours, lorsqu’on leur demande quel est leur rêve, les jeunes adultes en général, répondent: gagner de l’argent et être connu-e.
Une étude de l’université de Harvard, débutée il y a 75 ans, a débuté avec 724 hommes issus de milieux sociaux différents. Un groupe représentait des adolescents du quartier le plus pauvre de Boston ; l’autre groupe était constitué d’adolescents issus de familles aisées qui ont étudié en université.
L’étude avait pour but d’étudier les paramètres qui mènent au bien être, au bonheur. Chaque jour, des chercheurs posaient aux hommes des questions sur leur travail, leur vie à la maison, leur santé …. Puis ils ont mené des IRM et finalement les femmes ont également été interviewées (vraiment !) 60 de ces hommes sont toujours en vie aujourd’hui et leurs 200 enfants sont encore étudiés. Quelques hommes ont connus une ascension sociale, quand d’autres ont dégringolé l’échelle sociale. L’un d’entre eux est devenu président des Etats-Unis.
Les leçons apprises au travers de cette étude exceptionnellement longue n’approchent en rien la richesse ou la célébrité.
le message le plus clair qui en ressort est le suivant :
De bonnes relations nous gardent heureux et en bonne santé
3 points:
1/ Les connections sociales avec notre famille, nos amis, notre communauté, sont bonnes pour nous; Elles participent à une vie plus longue et plus saine. La solitude tue. Notre cerveau décline lus tôt, notre santé est moins bonne, notre vie est plus courte. 1 américains sur 5 se dit seul.
“Si plus isolé-e que ce que la personne souhaite être”: ce postulat est important à préciser. Deux personnes auront des besoins d’interactions sociale différents. Ce qui importe, est la différence entre le besoin ressenti et ce qui est reçu.
2/ Vous pouvez vous sentir seul-e dans la foule ou dans votre mariage Ce n’est pas le nombre de vos amis ou si vous être engagé-e dans une relation de couple qui importe mais la qualité de cette relation. Les conflits sont vraiment mauvais pour votre santé. J’ajouterais ici que reconnaître et faire face à un conflit est plus sain que ne pas exprimer une insatisfaction/ une rage ; cela vous « mangerait » de l’intérieur. Les conflits font partie de la vie.
Un mauvais mariage est probablement pire qu’un divorce. Il serait intéressant de définir ce qu’ "un mauvais" mariage représente selon la culture, les sub cultures et les croyances de chacun.
Les personnes qui étaient le plus satisfaites de leur relation à 50 ans, étaient celles qui avaient la meilleure santé à 80 ans.
La douleur physique est magnifiée par la douleur émotionnelle
3/ Une bonne relation protège notre corps et notre esprit. Être dans une relation où l’on se sent en sécurité à 80 ans, vous apporte des mémoires plus affûtées et plus longues.
Ces bonnes relations ne sont pas continuellement douces. Les relation humaines sont – peuvent être – compliquées et confuses.
Les retraité-es les plus heureux, sont celles et ceux qui ont été pro-actifs à remplacer leurs partenaires de travail par des partenaires de loisirs.
Qu’en est-il de vous ? Pourquoi ne pas remplacer les heures d’écran par des heures en compagnie d’humains Ou bien, planifier des activités nouvelles avec votre partenaires / vos proches ?

Pour un coaching, contactez-moi via piacoach@gmail.com 1ère session d’évaluation gratuite




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vendredi 12 juin 2015

Racines de vos émotions




Campagne anglaise
« Chaque fois que tu es en colère, contre quelque chose à l’extérieur de toi, questionne cela, car être en colère contre un miroir est insensé »
Byron Katie
Règle d’or.
La compréhension de ce postulat peut vous aider à mieux vous connaître.
Pourtant, je décorerais ce concept de mots différents, comme par exemple :

A chaque fois qu’un sentiment provoqué par un évènement fait jaillir une émotion en vous; cette émotion naît de racines pré existantes de votre ’système’ (corps-esprit) ;
Vous réagissez à ce qui existe déjà en vous et non pas uniquement à ce à quoi vous être confronté-e sur le moment.
Pourquoi ? 
Parce que cette émotion est le fruit d’un couplage antérieur évènement / sentiment.
Votre ressenti émane de la mémoire factuelle et émotionnelle d’un de vos couplages évènement / sentiment – émotion antérieur.
Explication :
Vous vivez une situation, un évènement E1. Vous développez des sentiments et des émotions S1.
Si vous rencontrez une évènement E2 que votre mémoire lie à l’évènement E1 (parce que lieu similaire, acteurs similaires, contexte …..)
alors vous ‘éditez’ les- sentiment-s et l’émotion-s S 1 que vous aviez précédemment - et en général inconsciemment - liés à cet évènement E1.
S1 est votre racine émotionnelle.
Les sentiments, émotions S 2 auront de très grandes chances d’être similaires aux S1. ( pas de 100% en matière de compréhension de l’être humain).
Ceci est vrai, que les couples évènement / sentiment émanent du puits de l’agréable ou de celui du traumatique.
Conséquences ?
Ce que vous vivez et ressentez est votre grille de lecture hautement individuelle du monde qui vous entoure.
Autrement dit, vous comprenez votre environnement à partir de votre grille de lecture personnelle, bien plus que de ce à quoi vous être confronté-es.
Une idée forte à retenir, est que pour comprendre votre aujourd’hui, il est intéressant de questionner votre hier.
Vous mettre en colère contre cette personne qui vous agace est peu utile, à part faire naître une explosion d’agressivité –interne ou externe- qui vous affectera ainsi que l’autre.
Bien plus intéressant est de laisser l’autre à sa place dans sa propre histoire, sans le ou la juger - quel intérêt, pour qui ? -
Vous positionner par rapport à cela avec la distance que vous choisissez d’avoir
et
vous demander : mais diantre ! d’où vient cette agressivité chez moi ? 
A quoi est-elle reliée ? 
Quel est son message ?
Je parle d’agressivité, cela peut être une angoisse … 
De toute façon,
cherchez la peur ou l’amour !
Comme toujours
Quant au mot ‘insensé’ utilisé par Byron Katie, je ne l’emploierais pas.
Je crois qu’il y a toujours un sens. 
Toujours.
Ce concept est une des clefs d'approche de toute thérapie.
°*°*Je ne parle pas ici de personnes confrontées à des situations de violences physiques ou psychologiques qui elles, mettent en œuvre, en plus de ce que décrit plus haut, des processus de défense d’une autre nature qui complexifient (et non compliquent) l’équation°*°*
Happy thinking !
:o)


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vendredi 29 mai 2015

Être connecté-e. Un peu, beaucoup, passionnément ...

Brésil


Si je vous dis 

« Vous êtes connecté-e »

Que vous vient-il à l’esprit ?
Avant même de réfléchir ?
Et après réflexion ?
Dans les apports positifs ?
Et dans les moins positifs,
voire négatifs ?

Non pas ce que vous  avez lu du fabuleux ou des dangers d’être connecté-es, ou même ce que votre partenaire de vie ou vos ami-es en disent.
Mais ce qui vous vient en tête ?

Qu’est-ce que ces différents accès à internet vous apportent ?
Au quotidien, à terme ?
En + et en - ?

Prenez le temps d’y penser.

Et je vais être aussi enquiquinante que les ‘pondeurs ‘ d’audits : quel temps pensez-vous passer sur un écran ? 
Activités perso et pro. ?

Je vous assure qu’il est intéressant de décompter ce temps, objectivement. 
Une journée devrait suffire.

Cela va vous permettre toucher votre réalité virtuelle (oui, je sais … réalité virtuelle … mais où va-t’on !!!)

Dans ce temps passé à naviguer sur internet, surfer sur les réseaux sociaux.
Y-a-t ’il autre chose par ailleurs que vous dites ne pas avoir le temps de faire ?

Si oui, il serait peut être intéressant de revisiter la réalité de votre affirmation ?

Pour ma part, les négatifs commencent à pointer leur nez lorsque l’on touche un seuil trop élevé. Trop élevé par rapport à quoi me direz-vous ?
Un seuil devient trop élevé lorsque des conséquences négatives pointent leur nez dans votre vie et créent des blocages, des évitements, difficultés, des mal être.
A vous de cerner lesquels.

Nous avons des besoins communs - quantité / qualité de : connections sociales / sommeil / repos . . .- leurs seuils ont une fourchette de variabilité qui nous est individuelle : certains d’entre nous auront besoin de 9 à 10 heures de sommeil, d’autre se suffiront de 6 ; alors que nous tous ne pouvons pas fonctionner correctement en deçà de 6 heures de repos nocturne régulier.

Éventuels impacts d’un seuil de consommation élevé

1/ Empêcher l’exercice d’autres activités souhaitées ou nécessaires
2/ Se déconnecter d’avec la réalité sociale faite de chair et d’os, accentuation de l’isolement social non virtuel ;
3/ Diminuer, voire annuler totalement les temps de repos / d’activité non stimulées de fonctionnement du cerveau. Impatience, l’agressivité…
4/ Fonctionner une majorité de temps à un rythme qui n’est pas celui du corps humain. Modification du temps de concentration, du déroulement des pensées.

Dépendance ?
A titre d’info ; il existe maintenant des centres de cure de désintoxication pour celles et ceux qui sont dans l’addiction des jeux vidéo.

Comment savoir si on flirte avec la dépendance ?
Posez-vous cette question toute simple : Est-ce que je peux me passer de ce produit  sans que mon comportement ne se modifie instantanément ?
Encore mieux, supprimer le produit pendant une journée.

Vous avez une bonne idée maintenant avec la réponse obtenue.

Je vous propose d’essayer de rester quelque temps ( à vous de définir lequel) sans utiliser un téléphone, un ordinateur, un iphone, un ipad . . . 

Voyez ce qui se passe en vous et dans vos relations avec les autres.
En agréable et en désagréable.

Quelle conclusion-s en tirez-vous ?

Je n’aborde pas ici les effets positifs de tous ces outils de communication, ils sont nombreux. A vous aussi de savoir lesquels ils sont, pour vous.
PS : Au fait,  je suis personnellement très accrochée à internet et des cures sans sont les bienvenues !




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mardi 19 mai 2015

La pensée complexe. Essence et commentairesd’une conférence de Boris Cyrulnick


Lyon, France.


Ou la capacité d'intégrer des données différentes au lieu de les exclure, pour accéder à la richesse de la subtilité.
Parce que la pensée linéaire exclut et raccourcit, quel que soit ce dont on parle.
Comme le dit Cyrulnick, méfions-nous des certitudes qui sont en général des lignes droites.
Gardons plutôt un esprit critique aiguisé, la capacité de poser un jugement en fonction, non pas d’apriori mais de ce que l’on observe, en avançant pas à pas pour mieux comprendre ce que l’on aborde. Tout ‘simplement’.
 La pensée complexe, c’est considérer plusieurs sources d’information pour appréhender une situation - complexe - et lui donner un sens cohérent. On n’est pas dans la causalité linéaire exclusive. 
Une réalité prend ses sources dans l’histoire individuelle et ses représentations. Celles-ci quant-à elles, s’ancrent dans l’histoire sociale, le récit historique et les sentiments. Récits extérieurs : récit de l’autre (autre individu, autre société …), et récits intérieurs : ce que l’individu a intégré en fonction de son propre déroulement de vie antérieur. Ainsi que les représentations de ces différents récits.
C’est pourquoi un travail sur les croyances, les siennes propres et celles que l’on transporte et qui ne nous appartiennent pas, est porteur. Ce à quoi se greffe également la génétique qui prend plus ou moins de poids, selon la situation.
Complexe, oui. Compliqué, non 
C’est de la complexité et uniquement d’elle que peut naître une série d’hypothèses de compréhension dont quelques-unes peuvent aboutir à un résultat cohérent pour la personne.
La compréhension fine d’une situation dépend de la spécificité de l’environnement dans lequel l’action s’est déroulée ; des images / représentations individuelles et collectives associées qui vont donner au sentiment, donc aux émotions un sens particulier et unique à une personne donnée.
La grille d’analyse d’un individu est tout à fait unique et ponctuelle. Elle peut se modifier tout au long de sa vie.
L’appréhension d’un l’évènement de façon globale est la première couche de l’approche. Elle est essentielle et non suffisante.
Prenons un exemple : ce qui transmet un stress à un enfant, ce n’est pas la mère ou le père, c’est le malheur de la mère ou le malheur du père ainsi que  leurs représentations complexes portées par les géniteurs / adultes référents de l’enfant.
L’histoire de la mère, et l’histoire du père interviennent et participent du développement de l’enfant qui vient au monde. Les enfants d’une même fratrie peuvent avoir une ‘mère différente’.
 Notre manière d’agir ensemble est gouvernée par des déterminants hétérogènes. Génétiques, parfois (même si l’homme n’est pas génétiquement déterminé, à part son sexe), la biologie, le cerveau, la relation, la culture, le climat, l’histoire . . . et leurs représentations.
Voici quelques exemples :
La culture: du fait de la ségrégation, certaines populations ont développé une endogamie et une augmentation de certains déterminants génétiques.
Le climat: dans l’Himalaya, lorsque survient la mousson, la population monte dans la montagne et la vie devient alors beaucoup plus dangereuse. De ce fait, les parents sont beaucoup plus stricts envers leurs enfants : un accident peut être fatal.  Les rituels deviennent bien plus rigides et obligatoires. Lorsqu’ils redescendent dans la vallée, les enfants commencent à désobéir et à s’opposer bien plus, notamment, aux rituels. Ce qui était intégré comme de l’autorité devient perçu comme de l’autoritarisme.
Selon l’histoire, et la signification donnée à un évènement, celui-ci peut être traumatisant ou non. Il faudra se pencher sur les évènements  périphériques, les représentations mémorielles que la personne en a pour comprendre les racines du trauma. 
D’où l’étonnante inégalité des conséquences des traumas.
En situation d’isolement sensoriel, les fibres préfrontales du cerveau ne sont plus stimulées. Il y a une fausse atrophie. Il suffit de réorganiser le milieu. La forme du cerveau dépend de la structure du contexte.
Le fait d’avoir à imaginer, anticiper, stimule le circuit de la mémoire et apprend à contrôler les émotions. L’effort d’imagination active les mêmes circuits cérébraux que l’effort de mémoire.
D’où la puissance de la visualisation !
La mémoire n’est pas le retour du passé. C’est une représentation individuelle du passé.
Quelle que soit la méthode psychothérapique, les résultats d’IRM montrent les mêmes modifications avant et après thérapie : la partie du lobe frontal se regonfle. Ce qui compte, c’est l’effort.
Il n’est pas nécessaire de comprendre pour soigner.
Le succès thérapeutique ne valide pas la théorie. On peut avoir des théories cohérentes, mais ce n’est pas ça qui marche…
En modifiant la représentation, on modifie le sentiment. (une représentation peut être un doc, une lettre, un film, un témoignage ….)
Il peut y avoir passage rapide de la honte à la fierté : plasticité des représentations et possibilité que l’on a d’agir sur elles.
Pourquoi  je vous expose cette approche de Cyrulnik ? (à laquelle j’ai rajouté quelques notes personnelles  mises en italique pour que vous puissiez savoir où est la parole de B. Cyrulnick)
Parce qu’elle peut vous permettre de comprendre pourquoi quelque chose vous touche tandis qu’elle n’a aucun effet sur votre voisin. Ou vice versas.
Ne pas diminuer un trauma parce qu’il n’affecte pas votre voisin.
Ou pour que vous réalisiez que le jugement d’autrui, s’il n’est pas nourrit de complexité, s’effectue en fonction de sa propre perception et donc qu’il est souvent incomplet et impropre pour vous. Idem pour votre jugement sur autrui. Un jugement vaut pour la personne qui l’émet. Il a cette importance et cette limite, inhérentes.
Egalement pour que vous sentiez que lorsque vous vous vivez dans une impasse, il y a moyen d’y accéder et d’en sortir.
PIA

lundi 4 mai 2015

Témoignage


London




Témoignage recueilli suite à un coaching qui a duré 4 sessions, chacune d'environ une heure chacune.
Pays-Bas - Via kype.
___________________________

Cette personne souffrait suite au départ de son conjoint après de nombreuses années de vie commune et la fondation d'une famille.

Voici quelques une de ses réflexions à la fin de son coaching.

«J'ai beaucoup appris sur moi-même.
Il est possible d' être égoïste de temps à autre, et de se mettre au premier plan.


J'apprends à le faire sans me sentir coupable
J'apprends que je suis digne d'être aimée.


Je suis une femme forte qui peut être fière d'elle!

Je suis soulagé que mon amour pour X ne se transformera pas en haine.
Et que je serai en mesure de lui donner une place dans ma vie.


À propos de coaching lui-même, j'ai aimé la longueur des évaluations, et j'ai aimé la flexibilité.
Ce qui m'a plu le plus est que vous- Pia - savez comment je fonctionne. 
Quels sont mes pièges, et la façon dont vous m'avez fait prendre conscience de leur réalité.

Vous m'a aussi donné à nouveau le sentiment que je savais ce que je faisais, que je le faisais bien, et à un rythme soutenu.
Entendre cela venant de vous m'a redonné confiance en moi à nouveau, et c'est exactement ce dont j'ai besoin.
Vous m'a aussi montré comment retrouver le contrôle de ma vie, même si mon monde était complètement hors de contrôle.

Je ne sais pas si l'exercice de la bulle était vraiment utile - nous avions effectué un exercice de PNL qui ne s'est pas avéré utile pour cette personne à ce moment là -
Un soir, je eu une conversation avec X pour la première fois depuis longtemps, et je pense que cette conversation a été plus efficace que cet exercice de PNL.
Mais il était probable que je n'aurais pas pu aveoir cette conversation sans la thérapie / coaching .

Émotionnellement, je suis de nouveau stable
Et je ne m'attendais certainement à être heureuse si rapidement.
C'est allé beaucoup plus vite que prévu.
J'ai vraiment aimé cette thérapie.

Je sais qu'il est dans ma nature d'analyser sans cesse mon fonctionnement; mais il est agréable d'avoir une guide qui sait ce qu'elle fait, et qui a su m'arrêter lorsque j'étais sévère avec moi-même.

Le coaching m'a beaucoup aidé! 
Et je recommande un travail avec vous! "


Un coaching réussi est la résultante entre l'engagement, la compréhension et la réactivité de la personne à ce que je peux renvoyer de la compréhension de son fonctionnement: habitudes de vie organisation / comportement / répétitions ...
La personne n'est plus seule
Je ne travaille pas seule
C'est une combinaison de deux engagements.
Un personnel et un professionnel. 




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mardi 17 mars 2015

Respirer - Méditer


J'espère que cette photo va vous donner un nouveau souffle !
Patagonia, Argentine



RESPIRER
Je décide ce matin de fermer les yeux et que ma main attrape le livre qu’elle choisira dans ma bibliothèque.
Je tombe sur 
« Méditer,
Jour après jour » De Christophe André.
Puis j’ouvre une page. Au « hasard ». Je tombe sur un chapitre qui s’intitule ‘Respirer’. 
Qu’est-ce qui me vient alors . . .

Respirer …
La respiration donne le tempo de notre corps. 
De nos pensées essentiellement. 
Chacun de nos organes a son rythme, son fonctionnement propre et tous sont liés. 
La respiration est un de ces liens.

Vous êtes stressé-e ? Votre respiration se modifie instantanément. 
Elle devient rapide, saccadée, et remonte au niveau de la poitrine. 
Le reste s’emballe et d’autres signes d’anxiété apparaissent.

La respiration, vent intérieur invisible, en mouvement incessant.
Sans lui, la vie n’est pas.
Il connecte notre intérieur à l’extérieur de notre corps.
La respiration est un moyen puissant pour être dans le moment présent. 
Se connecter à lui, le sentir, le suivre.

Respirer, c’est se nicher un instant dans le rythme de votre être. 
Maintenant. 
Pas avant, pas après. 
Maintenant et là où vous êtres dans cet instant.

Travailler sur son souffle, c’est un instant au moins, évacuer des douleurs, ralentir un rythme par trop intense souvent. 
Vous verrez, le rythme des pensées se colle au sien.

Je vous propose, plusieurs fois par jour, suivez votre respiration, imaginez-la qui nourrit votre corps ; prenez conscience de son rythme ; de son cheminement dans votre corps. 
‘jouez’ avec elle, accélérez-la, ralentissez-la.

Petit à petit, il vous sera de plus en plus simple de la rendre juste un peu plus tranquille, un peu plus lente.
Si votre respiration est centrée dans le haut de votre torse, un stress est là. consciemment descendez-la vers votre bas ventre. 
C’est là qu’elle reprend son nid naturel.

Quelques minutes par jour, ne respirez plus par défaut, respirez en conscience.
C’est un joli cadeau que vous vous faites. Pour vous et pour celles et ceux autour de vous.
Jolie journée à vous ! 



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jeudi 5 mars 2015

Le temps ?


Bonjour tout le monde !


J’aimerais partager une expérience avec vous.

Juste avant une session de coaching ce matin, il m’a semblé qu’il me serait bénéfique ( ainsi qu’à la personne qui allait m’appeler) que je fasse une méditation.
 
Par contre j’e me sentais frustrée car je n’avais pas beaucoup de temps. 

J’ai décidé de la faire tout de même, quelques minutes sont toujours mieux que rien.

Je me suis assise et ai commencé. 
Ma montre m’indiquait que j’avais devant moi environ 7 mn.

J’ai pu cette fois entrer en méditation assez facilement. 

J’ai ré ouvert mes yeux après ce qu’i m’a semblé être 2 ou 3 mn. 
Pour m’apercevoir que 10 mn s’étaient écoulées.



C’est la subjectivité de notre perception du temps.


Il peut vous arriver de vous demander su vous allez avoir suffisamment de temps pour faire quelque chose de précis.
Ei si vous répondiez oui ?
Par principe ? 
Car il se peut bien que vous ayez bien plus de temps que nécessaire.



Et, le temps peut vous offrir un extra !


Voici la relation que j’ai avec le temps :
Tout d’abord, la référence temporelle n’a que très peu de sens pour moi (Je ne sens pas, ne sais pas à quel moment de la journée je suis.) ; même si mon cerveau, comme celui de beaucoup de personnes, peut fonctionner comme un réveil matin très précis lorsque j’en ai besoin. De plus, je crois que (pour en avoir fait l’expérience), il y a des ‘moments’ durant lesquels les passé, présent et futur sont naturellement réunis et créent un espace sans référence temporelle.


Le temps peut être rusé !



Vous connaissez la vôtre ?


Bonne réflexion !



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