Rencontrez votre meilleur ami, alias votre inconscient

Dans ma pratique professionnelle ainsi que dans ma vie personnelle, 

je mets à contribution, autant que je le peux, les deux côtés du cerveau humain.

Approche holistique : analytique et émotionnelle d’une problématique.

Tant qu’à faire, autant utiliser toutes les ressources dont on peut disposer ; pourquoi s’en priver ! 

Enfin, celles auxquelles on parvient à accéder tout au moins.

Je fais des séances de relaxation,  j’utilise des outils de Programmation neurolinguistique, je propose des visualisations . . . et aussi des discussions avec son inconscient !

Personnellement, je discute très régulièrement avec mon inconscient et je propose donc  souvent à mes clients de faire de même avec le-leur.

L’inconscient donc, autant que le conscient est de la partie. Celle de la vie.

J’aime appeler mon inconscient  mon meilleur ami.

Il est là pour nous envoyer des messages : verbaux ( labsus) ; physiques : maladies, douleurs ; nos rêves ; des émotions qui sont parfois inexplicables à notre concient

Ces messages ont toujours pour objectif de tirer une sonnette d’alarme, attirer notre attention sur un point qui a son importance à ce moment-làprécis de notre vie et dont l’acceptation et la prise en compte doit nous aider à être mieux.

A nous de les ignorer ou non.

La représentation que l’on a de son inconscient peut être masculine ou féminine.

Je vous propose un exercice qui va vous permettre de ‘définir’,  de repérer, d’entrer en contact votre inconscient.

Je vous conseille de faire cet exercice chez vous, tranquillement, à votre rythme.

Installez-vous confortablement ;

Veillez à ne pas être dérangé-e pendant une 20aine de minutes : coupez vos téléphones, éloignez-vous de tous les i-quelque chose, assurez-vous que la sonnette de la porte ne vous dérangera pas.

En d’autres termes : laissez-vous aller à la détente . . .

Respirez profondément ou très légèrement

Tranquillement, à votre rythme

Les yeux fermés ou ouverts.

Assis-e ou allongé-e

.

Après deux ou trois inspirations et expirations, commencez votre approche : 

vous allez, petit à petit visualiser très précisément votre inconscient et en définir sa forme.

Vous lui parlez, comme s’il s’agissait d’un ami ; je vous assure que c’est votre meilleur ami. 

Ne soyez pas timide ou gêné-e, il n’y a que vous avec vous-même.

Par exemple :

« Mon inconscient,  j’ai bien envie de te connaître pour que je te sente là, avec moi. »

Si vous aviez à vous représenter votre inconscient, cette entité masculine ou féminine, personnage, personne ou chose ; comment serait-il ?

Laissez les images qui se présentent arriver,  aussi longtemps qu’elles arrivent ; vous avez le temps !

Si elles n’arrivent pas, soyez patient-e, continuez à parler à votre inconscient, toujours comme à un ami, qui se cacherait, pour une raison qui lui appartient, et que vous respectez.

Si une image se fait plus intense,  si, d’une façon ou d’une autre elle vous ‘attire’ davantage, elle est stable, reste plus longtemps, vous paraît plus agréable que les autre,  

il se peut bien que ce soit là la représentation de votre inconscient.

Gardez-la et prenez le temps de vous l’approprier. 

Précisez-la : ses couleurs, tonalités, luminosités, cadre, contenu … passez en revue tous ses détails ;

Puis lorsqu’elle est très précise, ‘photographiez-la’.

Et donnez-lui un titre.

Une cliente un jour avait vu le jardin de son enfance et l’avait nommé sa photo : ‘mes fleurs’.

Ne craignez pas de vous tromper d’image, si elle vous plaît, elle ne peut pas être mauvaise ou fausse.

 Il n’y a pas une unique ou bonne représentation. 

Il y a celle que vous choisirez d’avoir.

 Si vous êtes accroché-e agréablement par une image, c’est le principal car il vous sera plus facile par la suite de vous reconnecter avec elle.

Vous avez choisi  cette unique représentation par l’image de votre inconscient, 

donc elle a du sens pour vous.

A chaque visualisation de cette image, vous allez vous reconnecterez avec votre inconscient.

L’image choisie est votre média.

Votre inconscient lui, n’a pas besoin de média, pour la simple raison qu’il est en vous, 24/24 et 7/7.

Vous ne parvenez pas à établir une représentation de votre inconscient ?

Peut-être n’en avez-vous pas vraiment envie pour l’instant ; peut-être doutez-vous de son existence ou de la possibilité d’entrer en contact facilement avec lui; peut-être que . . .   

Il n’y a pas à devoir se connecter à son inconscient. 

Chacun libre de ses choix ; rien n’est obligé.

Vous pouvez aussi vous poser la question, si tant est que cela vous titille tout de même :

«Que se passerait-il si je pouvais me représenter mon inconscient et me connecter à lui ? »

Je vous conseille de faire cet exercice régulièrement, car, comme tout exercice, plus vous le ferez et plus il vous sera facile et rapide de vous connecter et de continuer vos discussions avec ce meilleur ami.

De nouveau, en lui parlant comme à votre précieux ami, à votre façon.

je vous souhaite de bien belles discussions que vous choisirez !

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