Avec le bac International ...

Guggenheim museum, New York

Être citoyen du monde ?

Expérience singulière des français qui ont choisi de mettre leur enfant en filière anglo-saxonne qui finit, au grès des expatriations, en cursus international.

Cet examen qui sanctionne la fin des études secondaires, est encore peu connu et reconnu dans les diverses institutions françaises : universités ou grandes écoles. Voyons comment se positionner face à un blocage institutionnel ?

Qu’est-ce que cette filière ‘internationale ?

Inscrire ses enfants par choix, ou par manque de place en école française, dans une école anglo-saxonne. Les expatriations et les disponibilités des établissements faisant, il arrive qu’un enfant passe un baccalauréat international (BI), diplôme reconnu par la France par l’article 17 du décret du 20 janvier 1984.

La réalité de fin d’étude

Le niveau des apprentissages est très bon et prépare largement à une entrée dans les Universités ou les grandes écoles françaises. Souvent, l’enfant se tourne tout naturellement vers des inscriptions dans les pays anglo-saxons : milieu scolaire dans lequel il évolue. Cela peut impliquer un éloignement, un isolement, et surtout un coût des études plus élevé. Ces paramètres seront vécus et résolus par chaque famille de façon différente. Arrive la phase des inscriptions dans le système supérieur français. Chaque université/institution a une indépendance de critères d’admission, en prenant en compte un portail national d’inscription.

Les réponses reçues de ces institutions peuvent être déroutantes : connaissance du BI, ou non; son acceptation ou non; demande de tonnes de justificatifs ou non; traductions assermentées ou non de tout papier fourni; test de niveau de français ou non; utilisation du portail national d’inscription ou non. 

Votre enfant est français, il a un diplôme qui n’est pas national : ça ne rentre pas dans les cases. 

Si par chance, il a également passé un diplôme national (américain, anglais...), envisager de le mettre en avant peut simplifier les procédures ! 

Ces démarches sont au jour d'aujourd'hui complexes car en plus des faits, il faut gérer les comportements humains de l’autre bout du fil.

Surtout, surtout, ne vous arrachez pas les cheveux, il y a toujours une solution !

Je vous propose de :

   Savoir très exactement ce à quoi on veut aboutir. Ecrivez-le de façon très concise et claire 

       Ne pas mettre en doute l’issue positive de votre requête. Ce n’est pas une ligne droite et ça se travaille

       Accepter que les refus, les erreurs de votre interlocuteur sont dus à une non connaissance de la réponse à votre demande  et non à un refus de votre demande.

       Choisir de cheminer ensemble pour apprendre et trouver une solution acceptable pour les deux parties

       Réaliser que se butter est contre productif !

Lorsque la mission est accomplie, champagne ! ! Il ne reste ‘plus qu’à’ attendre les résultats du bac !

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