Plutôt optimiste ou plutôt pessimiste ? Optez pour l'optimisme !

Participation au carnaval de Rio

Comme je l’avais déjà expliqué dans un article précédent: les aspects innés de notre personnalité peuvent être modifiés par le comportement ; c’est un apprentissage.

Dans la même logique, nous savons maintenant que notre matériel génétique n’est pas figé à la naissance.

Je viens de lire un article avec un plaisir non dissimulé car il exprime clairement ce que je ressens depuis … aussi loin que ma mémoire accepte de me porter.

Un article où l’on parle du positionnement des optimistes et des pessimistes

Que je qualifierai davantage de 

‘tendance à l’optimisme ou au pessimisme ‘

J’avoue appartenir à celle des indécrottables optimistes. J’ai parfois des bouffées d’énergie qui peuvent me porter à considérer que tout est possible. 

D’où, comme il est mentionné dans l’article, je me retrouve être considérée bien souvent par autrui comme étant 

« naïve, à côté de la plaque » 

je pourrai ajouter, d’expérience : 

« irréaliste »

 Attitude qui peut également mener certaines personnes à l’agressivité. Oui : l’optimiste peut agresser sans le vouloir celui qui l'est moins. 

Cette légèreté d’être peut s’avérer insupportable à l’autre. J’ai testé pour vous.

Pourtant, l’optimiste ne provoque pas. Il EST ainsi fait.

Les optimistes fonctionnent en mode potentiel : Les aspects de difficulté d’une situation ne sont pas ressentis comme des barrages, mais simplement comme des obstacles qui seront franchis. Un peu comme une course de haie : chaque haie est obstacle qui fait que la course existe; donc ils sont travaillés et non niés, cependant, l’œil reste rivé sur la ligne finale, et c’est là que se focalise la volonté du coureur C’est ainsi que fonctionne l’optimiste.

Quitte, comme le souligne l'auteur de l’article, à 

faire ‘comme si’ 

qui est jeu naturel chez l’optimiste ; par exemple : 

« bon, ça bloque, alors je fais comme si ce rendez-vous que je ne parviens pas à décrocher est acquis et s’est bien passé, je passe à l’étape suivante »

Le fatalisme ne fait pas partie de notre vocabulaire. Jamais. C’est une notions qui est simplement non acceptable car réductrice : au nom de quoi ou de qui ?

L’optimiste est persuadé qu’il y a une solution et donc cherchera une voie qu’il finira par trouver ! Cette voie peut être une nouvelle direction d’ailleurs, mais qu’il vivra comme constructive avec ses nouvelles bouffées d’énergie, et non comme un échec frustrant.

Puisqu’il y a la place de possibilités en lui, dans son esprit,  il sera ouvert à recevoir toutes les options : rencontres, idées …. qui se présentent. Et gagnera de la satisfaction de ce qu’il en tirera.

L’optimiste par contre est réaliste et a les pieds sur terre. Je dirai que la meilleure description est son grande capacité naturelle de pouvoir considérer la vie avec une 

« vue d’hélicoptère »

  la grande image : le début, la fin, ce qui reste en satellite autour et l’objectif essentiel, qui n’est pas pollué pas tout cela.

Le journaliste a de nouveau mis le doigt sur un trait qui est si fort : 

haute conscience du caractère éphémère et précieux de la vie.

Cette richesse naturelle n’empêche pas les coups de blues, plus ou moins importants. La vie reste ce qu’elle est avec ses peines et ses joies. 

Ce ne sont pas les évènements qui sont différents, mais bien la façon de les recevoir et de les traiter.

Ce positionnement positif aide sans aucun doute à rebondir et à trouver une solution assez radicale parfois, mais qui semble limpide et incontournable, même si elle peut être douloureuse.

Je suis très heureuse de faire partie de ce groupe des optimistes de la vie ; cette attitude un peu folle et assumée au fil des années, malgré une incompréhension fréquente, aide incroyablement dans la vie personnelle et de fait m'aide personnellement dans mon travail auprès de mes clients.

Comme l’affirme Anne-Marie Filliozat, psychanalyste, 

«Un état d’esprit positif est accessible à tout le monde » : oui ! oui ! oui ! 

( ah ! la positive attitude en moi est toujours ancrée !)

Lorsqu’on est plutôt à tendance pessimiste et que l’on souhaite un peu plus d’énergie porteuse et de légèreté, il faut le vouloir ; l’envie est essentielle. 

Alors en découle la capacité à modifier certaines pensées, et donc certains comportements.

Vous pouvez commencer par faire quelques exercices de relaxation qui permettront à votre corps de se décrisper et d’accepter un changement. 

Une fois de plus, je le répète, le corps et l’esprit fonctionnent ensemble. L’un ne va pas sans l’autre.

Relaxation et visualisation positive ouvrent grandes les portes de nouvelles options.

Là alors peut commencer un autre travail : celui de la mémoire, car nous avons tous des souvenirs positifs et des souvenirs négatifs.  

Il s’agit de faire un travail de mémoire sur les souvenirs positifs, ou bien négatifs. Peu importe, ce sont les deux facettes d’une même mémoire intégrée. 

Le travail des uns mènera aux autres … et vice versa. 

Comprendre les mécanismes affectifs  de mémorisation qui se sont figés en nous, dans notre corps permet de les revisiter et de les ‘déplacer’, de leur donner, volontairement, une autre place : changement, mouvement.

Bougez vos pensées, bougez votre corps et vous commencez à vous offrir de nouvelles perspectives !

Bon remue méninges !

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